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Les Récits Fantasmés De Ryoko.

Les Récits Fantasmés De Ryoko.
  • Bonjour à tous et à toute, et tout d'abord bienvenue. Je suis une fana d'écriture et de lecture depuis très longtemps, et j'ai donc pris la décision de me lancer. J'espère que cela vous plaira. :) (Fiction, One-shot)
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20 octobre 2015

Petit message!

Bonjour, bonsoir!

Je passe rapidement vous signalez que mon blog sur ce domaine n'est pas le seul donc je dispose. En publiant la même fiction sur différente plate forme, j'esppère toucher plus de gens. J'ai vraiment besoin d'avis et de critique pour avancer. Alors je remercie tous ceux qui prendront le temps de me lire et également ceux qui prendront le temps de me laisser leurs impressions en commentaire! 

Je vous le laisse ici,car il y a de forte chance que je sois plus active sur l'autre plate forme. Mais je posterais quand même la fiction ici si je vois que vous êtes intéressés!

http://shewantblood.over-blog.com/

Merci beaucoup, et bonne lecture!♥

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20 octobre 2015

SHE KNOWS EVERYTHING ABOUT ME. (PARTIE I.) | NDA

SHE KNOWS EVERYTHING ABOUT ME. (PARTIE I.)

She Knows Everything About Me. (Partie I.)

| NDA : Tous les personnages de cette fiction ont étés inventés par moi-même. Toutes ressemblances avec un personnage existant serait fortuite. 
Cette fiction sera essentiellement basés sur une relation lesbienne, je signalerai en début d'article. J'attends vos retours avec impatienc
e!♥

Article L111-1 : L'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa création, d'un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. |


She knows everything about me.

La vie d'étudiant, c'est le pied pas vrai ? Les cours, les amis, les soirées, et l'insouciance. Toutes ces choses qui font que les plus jeunes rêvent d'être à notre place. Alors oui, les études supérieures, c'est chouette. Mais si je vous dis que je suis dans une faculté de droit en Californie? Eh bien, vous rêvez encore plus, le rêve américain quoi. Le seul souci apparent, c'est moi. Je ne suis définitivement pas faite pour ce genre d'enseignement et pourtant, pourtant, je m'obstine. L'année dernière, j'étais en première année et je le suis toujours cette année. Faut dire que j'ai pas été assidue et élève model l'année passée. Mes parents m'ont bien fait comprendre que c'était ma dernière chance, avant qu'ils m'envoient travailler dans les mines.

Alors voilà, je m'appelle Ryoko, et j'ai 19 ans. Ma mère est d'origine asiatique et mon père, un américain pure souche. Physiquement, je suis plutôt grande, dans le mètre soixante-quinze et plutôt fine. Mes cheveux sont noirs et mes yeux bleus. Et non, ils ne sont pas bridés. Je vous vois venir. J'ai eu de la chance de ce côté-là, mon père m'a sauvé la mise en me donnant ses yeux d'Européen. J'ai toujours été la fille a part, celle avec des vêtements de mecs ou trop grand pour elle, des trucs déchirés, délavés. Mais j'aime ça, j'aime cette différence. Apparemment, je suis plutôt jolie, du moins, les gens qui me tournent autour le disent alors, je finis par le croire. Mes parents détestent mon look, et encore plus les deux anneaux qui trônent sur ma lèvre inférieure, sur le coté droit plus précisément. À leurs grandes dames, je ne suis pas la petite fille rêvait, mais je m'en moque.

Tout ce que j'ai expliqué plus haut, c'est juste pour que vous vous y retrouviez. Ah oui parce que l'histoire qui va suivre est assez étrange, et même totalement improbable. Non, je vous assure, même moi, je croyais que c'était que dans les films ce genre de chose.

Et donc, me voilà. Ryoko Emiya, à l'aise dans ses rangers, devant la fac. Mes yeux se baladent sur la façade du bâtiment principal, je lis pour la énième fois "L.A, Californie, Faculté de droit. Au moins, j'oublierai jamais où j'ai fait mes études, enfin où j'ai tenté de faire mes études plutôt. Les nouveaux élèves se pressent dans les allées cherchant leur chemin, c'est amusant. Je les regarde en souriant légèrement, est-ce que j'ai fait ça moi aussi ? Puis une sonnerie stridente me coupe, me faisant sursauter comme une idiote.

"Bordel, en deux mois, j'ai réellement oublié à quel point cette sonnerie était merdique ?!" Soupirai-je en remettant mon sac droit.

Puis je me décide enfin à bouger, me dirigeant vers l'amphithéâtre. Pas besoin de faire un arrêt devant le plan, je le connais par cœur. Je m'engouffre alors dans les couloirs, slalomant entre les jeunes qui paniquent quant à l'idée d'être en retard le premier jour.

"Excuse-moi !"

Je sens une main agrippait l'arrière de mon sac, surprise, je me retourne lentement, l'un de mes sourcils étant arqué.

"Oui?" Dis-je de ma voix calme et interrogative.

Je vois un garçon, qui fait environs ma taille. Il est moyennement musclé, et semble perdu. Il passe nerveusement sa main dans ses cheveux bruns plusieurs fois de suite en ne sachant pas où regarder.

"Je suis nouveau ici, et...."

'Tu ne trouves pas ta salle ?"

Oui, je venais de lui couper la parole, mais c'était tellement prévisible comme situation. Ses yeux d'un vert très clair, se rapprochant de l'émeraude me fixent. Puis il sourit de façon gênée, et hoche la tête pour confirmer. Quant à moi, je le détaille rapidement. Il est plutôt mignon.

"Suis moi. La première heure se fait avec tous les étudiants, et ensuite nous serons divisés par groupe."

Je me remets en marche sans plus attendre. J'entends ses pas rapides derrière les miens, puis il se place discrètement à côté de moi. Son attitude a changé, il semble plus sur de lui maintenant qu'il n'est plus seul dans ce couloir bondait de personne. Quelques minutes après, nous arrivons devant une imposante double porte en bois. Je m'arrête, tournant mon regard vers lui.

"C'est ici, l'amphi' numéro un. Celui dans lequel tu aura la plupart de tes cours, essaye de t'en souvenir, je ne pourrais pas te servir de GPS jusqu'à la fin de l'année."

Cette réplique aurait pu être méchante, mais le fait que j'affiche un demi-sourire sauve la situation. Le garçon me regarde pendant quelques secondes, comme choqué de ma réplique puis il me montre un grand sourire, que je trouve enfantin et carrément mignon.

"Oui, merci beaucoup... euh..? J'ai pas retenu ton prénom."

"Je ne te l'ai pas donné."
Lâchai je en ouvrant l'un des battants de la porte, avant d'entrer sans un mot de plus.

Le brouhaha environnant me fait sourire. L'année dernière, j'étais entrée dans les premières, comme impatiente de voir ce qui m'attendait dans cet amphi. J'avais rejoint une place au hasard et c'est à cette même place que j'avais rencontré Jake, Maelys, Lénah et Derek. Ils me manquent déjà pour dire vrai. Mes yeux se posent sur les différents visages présents dans les rangs, certains me sont familiers, normal en fac de droit. Je ne suis pas la seule à retaper mon année, c'est déjà rassurant. Sans plus perdre de temps, je monte le petit escalier qui me mène au cœur des rangs, j'observe les alentours avant de m'asseoir aléatoirement à une place libre.

Quelques secondes suffirent pour que tous les rangs soient complets et que les derniers arrivant soit obligés de prendre place dans les marches. 

"C'est long hein..."
J'ai un léger sursaut pivotant ma tête pour voir celle qui m'a fait frôler la mort. Une fille, blonde, aux yeux noirs comme du charbon. Qu'est-ce qu'elle me veut celle-là ? Elle ne peut pas me sortir l'excuse de la fille perdue dans les couloirs, alors quoi ?

"Et encore, tu n'as rien vu." En disant cela, mes sourcils s'étaient levés et un soupir avait quitté mes lèvres. Je l'entends rire doucement, en cachant sa bouche à l'aide d'une de ses mains, d'un air élégant. Wow. Tellement classe. Son geste me fit sourire alors que mes mains allèrent attraper mon pc que j'ouvre d'un geste rapide, rentrant les identifiants nécessaires.

"Meg, enchantée."

Sa main était maintenant devant mes yeux, j'hésite quelques instants. Je suis pas habituée à ça moi ! Personne de mon âge ne m'a tendu une main pour me saluer ! Ne me jugez pas. J'attrapai sa main d'un geste doux, ne voulant pas paraître brusque, je la secoue légèrement.

"Meg? Diminutif de Mégane ?" 

Elle hoche la tête doucement de haut en bas, souriant de toutes ses dents. Des dents blanches , éclatantes, et parfaitement alignées. 

"Ryoko, enchantée" ajoutai-je avant de lâcher sa main.

Elle n'a pas l'air désagréable, c'est déjà un bon point pour moi. Je lance mon moteur de recherche en tapotant mes ongles sur le bord du pc, patientant comme je peux en attendant le ou la prof qui viendra nous faire le blabla habituel des débuts d'année. J'expire bruyamment en m'apercevant que je n'avais pas d'accès internet, après quelques manipulations, Facebook s'affiche enfin. Comme toutes bonnes étudiants, je fouine dans chaque coin et recoin de mon fils d'actualité, puis je vais liker des photos, commenter même. D'un coup, le brouhaha que j'avais fini par ignorer s'arrête, l'intensité lumineuse de la salle se baissa, nous laissant dans la pénombre tandis que seule l'estrade était éclairée d'un spot. Pour le coup, savoir que Sabrina s'était cassé la gueule dans un fossé et que la vidéo a été partagée 350 000 fois, me paraissait totalement inintéressant. Cette mise en scène m'attirait plus.Après avoir baissé l'écran de mon ordinateur, je fixe intensément la porte, attendant l'arrivée de l'enseignant. Mme Parker aurait-elle reprit du poil de la bête ? En regardant du coin de l'œil, ma voisine, je m'aperçois qu'elle est aussi subjuguée par la situation que moi, comme tous les élèves a part ceux qui sont en train de finir leur nuit bien sûr.

Quelqu'un finit enfin par faire son entrée dans l'amphi. Mais ce n'est pas un enseignant. C'est Jake. Cet abruti. Je m'enfonce dans mon fauteuil, ne souhaitant pas être vu par ce connard de première. Maelys le suit, accompagnée par Lénah qui est elle-même suivit de Derek. Ils rient ensemble comme s'ils venaient d'entrer dans un bar. D'autres élèves les suivent. Qu'on m'explique. Que quelqu'un m'explique. Mégane tira doucement sur ma veste, continuant de regarde la scène, elle murmure d'un air inquisiteur.

" C'est qui eux?" 

"Ce sont les deuxièmes années. Ils vont sûrement nous faire un speech sur la première année, le truc habituel quoi. Mais je ne m'attendais pas à ce que les profs les accompagnent" répondis-je en les désignant d'un signe de tête.

"Oh d'accord." Elle venait de s'enfonçait-elle aussi dans son fauteuil d'un air ennuyé. Son visage avait perdu l'air enjoué qu'elle avait depuis le début de l'heure, c'était amusant à voir.

Un homme en costume prit la parole, accueillant les nouveaux étudiants. Les encourageant pour l'année, les félicitant de se lancer dans une aventure aussi risquée qu'est la faculté de droit. J'ai envie de rire. Non, d'éclater de rire. Mais je me retiens tant bien que mal. Jake finit par prendre la parole, me cherchant du regard, il fait exprès d'appuyer sur les mots "sérieux, assidus et volontaires". Je prends cela comme une critique visée. Il sait que je suis quelque part dans cette salle, et j'ai envie de lui sauter dessus pour lui faire avaler ses cheveux. Chacun leur tour, mes amis prennent la parole, rajoutant un petit mot d'encouragement pour les nouveaux et un mot de soutien pour les redoublants. C'est au tour des profs de faire un discours, de se présenter et de nous prévenir des difficultés que nous rencontrerons. Moi, je m'en fous, je le sais tous ça. Mégane, elle, elle s'en fout aussi apparemment puisqu'elle joue à Candy Crush sur son téléphone.

Je regrette de ne pas avoir partagé la vidéo de Sabrina finalement. Je retourne sur le réseau social, recherchant la vidéo rapidement. Après avoir cliqué sur partager, je me prépare a valider. Mais j'entends la voix du directeur d'études qui nous demande d'accueillir une nouvelle enseignante. Mes yeux reviennent sur l'estrade.

"Merci beaucoup, Mr.Furd."

Wow. Cette femme. Elle est éblouissante. Elle vient de sortir de l'obscurité pour se placer sous le spot. Son corps est grand, fin, et magnifiquement proportionné. Son visage est fin, sculpté, mais légèrement sévère. Ses yeux sont d'un vert foncé très profond, ses cheveux sont châtains foncé, ses lèvres sont roses, pulpeuses. Mes yeux s'arrêtent sur sa tenue vestimentaire. Un tailleur bleu nuit composé d'une jupe et d'une veste lui donnait un air très digne, et noble. Bien entendu, je ne suis pas la seule à examiner cette femme, à être fascinée par elle. La plupart des élèves font de même. Certains sont déjà en train de sortir des choses totalement déplacées sur elle, s'imaginant au lit avec elle par exemple. Bien qu'elle soit d'une beauté rare, et bien, je suis méfiante. Son air sévère ne me dit rien de bon. Nous allons souffrir cette année, j'en suis convaincu. Les murmures et les appréciations sur sa beauté cessent dès lors qu'elle ouvre la bouche, parlant d'une voix calme mais légèrement amusée par moment. 


"Bonjour. Je serais votre enseignante en Histoire du droit. C'est une spécialisation, donc je n'aurais pas le plaisir de tous vous avoir. Mais pour ceux qui sont concernés, sachez que je ne laisse rien passer. Si vous n'êtes pas là dans l'optique d'obtenir votre License, personne ne vous retiens."

Eh beeeeh. Elle mâche pas ses mots. Heureusement qu'elle n'était pas là l'année dernière celle là. Je vais devoir bosser, au moins dans sa matière, pour qu'elle me lâche les rangers. Je souris légèrement en voyant la tête de Maelys qui se tords dans une grimace de fausse souffrance. Elle doit me plaindre puisque Lénah rigole discrètement en me regardant malgré l'obscurité.

"Je suis mademoiselle Fawks. Et j'espère que cette année sera enrichissante pour vous comme pour moi."

"A cup of tea maybe?" chuchota Mégane en rangeant son téléphone. Je ne peux pas m'empêcher de rire, enfonçant ma tête dans mon col pour étouffer le bruit. Ma voisine me regarde en faisant de grand geste imitant les bourgeoises du seizième siècle. Cette fille est folle. Je vais finir par me faire jeter de l'amphi avec ses conneries. Après m'être calmée, je regarde mademoiselle Fawks avec un sourire en coin. Meg a raison. Elle a un accent. Un accent anglais. Il est discret, mais il s'entends.

Mme Parker reprit la parole nous annonçant qu'elle allait nous dispenser notre premier cours de l'année, du droit privé. J'adore cette femme. Alors je suis heureuse de commencer mon année avec elle. Avant tout autres choses, l'enseignante donna les groupes. Je suis dans le groupe un, avec Mégane. Chouette. Je suis heureuse de savoir que je ne serais pas seule pendant nos longues heures d'amphi. Elle me regarde en souriant, me faisant comprendre que la nouvelle la réjouissait aussi. Le garçon que j'avais accompagné vint s'asseoir à coté de moi, souriant légèrement.

"Junes." Dit-il en sortant son pc, s'installant tranquillement.
"Ryoko" Dis-je en souriant en coin.

Et c'est partit pour une nouvelle année.

20 octobre 2015

Le début de la fin.

Eh bien, il semblerait que cet article soit le premier d'une longue lignée (du moins, je l'espère)

Je vais donc profiter de ce premier post pour vous parler un peu des écrits, des textes que vous pourrez trouver sur ce blog. Tout d'abord, je me dois de vous prévenir que je n'ai aucune retenu sur la violence, le sexe (entre deux femmes, ou entre un homme et une femme, et peut être même entre deux hommes.) donc si certain d'entre vous sont jeune, ou qu'ils ne supportent pas l'homosexualité, je vous conseille de passer votre chemin. Je l'indiquerai lors du premier chapitre en mettant par exemple "--------- Fiction Lesbienne------".

Dans ces fictions, il y aura sans cesse un personnage récurant. Son prénom est Ryoko, il ne changera pas. Mais son nom, et son physique pourront changer selon le contexte. Mais je m'engage à vous faire part de son physique, sa personnalité en cas de changement.

Je ne suis pas certaine que mes écrits marcheront et auront beaucoup de vu, mais j'ai dans l'optique (si possible) d'essayer de me faire publier, c'est pourquoi j'ai besoin d'avis d'internaute avant d'oser franchir le pas.

Je vous remercie d'avoir lu (si vous êtes arrivés jusque-là, du moins) et espère du fond du cœur que mon blog vous plaira.

Bonne journée / soirée, et à bientôt pour le premier chapitre de ma première fiction intitulé "She know everything about me."

Ps : excusez mes éventuelles fautes, j’essaierai tout de même de les corriger, mais il est possible que j'en oublie. 


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